Les six éléments (7/7)
Nous ne pouvons rien examiner qui ne soit pas interdépendant de quelque chose d'autre.
Aucun attribut ne peut être considéré indépendamment du reste. Cette interdépendance est liée aux différentes manières « d'occuper le point de rupture » selon les lignes de forces.
On distingue trois interdépendances fondamentales, ou trois courants principaux… qui sont sans doute comme des souffles.
- Le premier réunit quatre attributs sur les positions des quatre plans.
- Le second et le troisième courant réunissent à chaque fois quatre attributs sur les positions des axes (équinoxe et solstice)
Ces trois courants se composent pour chacun d’eux de deux groupes d’attributs ; des paires d'attributs complémentaires, qui sont comme une image en miroir l'un pour l'autre…
Et ces six paires de couples se complémentent naturellement du fait des lignes de forces qu’elles utilisent
Aucun attribut ne peut être considéré indépendamment du reste. Cette interdépendance est liée aux différentes manières « d'occuper le point de rupture » selon les lignes de forces.
On distingue trois interdépendances fondamentales, ou trois courants principaux… qui sont sans doute comme des souffles.
- Le premier réunit quatre attributs sur les positions des quatre plans.
- Le second et le troisième courant réunissent à chaque fois quatre attributs sur les positions des axes (équinoxe et solstice)
Ces trois courants se composent pour chacun d’eux de deux groupes d’attributs ; des paires d'attributs complémentaires, qui sont comme une image en miroir l'un pour l'autre…
Et ces six paires de couples se complémentent naturellement du fait des lignes de forces qu’elles utilisent
Première paire
Terre/Feu :
- En déséquilibre : Forteresse rigide et stérile, réagissant excessivement à toute forme de changement ou de nouveauté, apathie intégrale
Eau/Terre :
- En équilibre : Maîtrise des oppositions par renforcement duel, imposition manoeuvrée
- En déséquilibre : Stagnation et marasme intérieur, production d’opacité négative, volonté de contrôler l’extérieur, sentiment illusoire de puissance issue du maintient des antagonismes
Seconde paire
Air/Air :
- En équilibre : Renouvellement des positions, ouverture et libération des contraintes
- En déséquilibre : Pas de résistance, pas de stabilité, pas d’enracinement pour la maturation, réactions fantasques brusques, emballement inattendu, exaltations chimériques, mirages et illogismes
Feu/Eau :
- En équilibre : Conquête libératrice des contraintes, rayonnement et maîtrise de l'adversité
- En déséquilibre : Pas de mesure, pas de tact, pas de sophistication, tente de dissimuler les faiblesses, survalorisation de l’énorme et minimisation de l’épuré
Première paire
Feu/Feu :
- En équilibre : Stimulation, agitation, contrastes foudroyant, changements spectaculaires
- En déséquilibre : Impulsivité et réaction primaire, agressivité et virulence, refusant tout compromis avec l’extérieur, vertige de la confrontation incessante
Air/Terre :
- En équilibre : Harmonisation des contraires, équilibrage par l'échange et le rapport de forces
- En déséquilibre : Rejet des limites, débâcle de l’informe, impression illusoire de puissance, perte d’authenticité par compromission absurde avec l’extérieur, désengagement prôné
Seconde paire
Terre/Eau :
- En équilibre : Nature propre, dénuée, impeccabilité liée à une grande économie de moyens
- En déséquilibre : Aucun dynamisme d’échange, allergie aux mélanges avec l’extérieur, repli sur une intériorité auto-ligotée, aucun élan, aucune prise de risque
Eau/Air :
- En équilibre : Annulation et maîtrise non-duelle des oppositions, immobilité au sein du mouvement
- En déséquilibre : Inconsistance et passivité extrême, indifférenciation insensée, léthargie, claustration et immobilité, déni des réalités extérieures, bouffées sporadiques d’instabilité agressive
- En équilibre : Stimulation, agitation, contrastes foudroyant, changements spectaculaires
- En déséquilibre : Impulsivité et réaction primaire, agressivité et virulence, refusant tout compromis avec l’extérieur, vertige de la confrontation incessante
Air/Terre :
- En équilibre : Harmonisation des contraires, équilibrage par l'échange et le rapport de forces
- En déséquilibre : Rejet des limites, débâcle de l’informe, impression illusoire de puissance, perte d’authenticité par compromission absurde avec l’extérieur, désengagement prôné
Seconde paire
Terre/Eau :
- En équilibre : Nature propre, dénuée, impeccabilité liée à une grande économie de moyens
- En déséquilibre : Aucun dynamisme d’échange, allergie aux mélanges avec l’extérieur, repli sur une intériorité auto-ligotée, aucun élan, aucune prise de risque
Eau/Air :
- En équilibre : Annulation et maîtrise non-duelle des oppositions, immobilité au sein du mouvement
- En déséquilibre : Inconsistance et passivité extrême, indifférenciation insensée, léthargie, claustration et immobilité, déni des réalités extérieures, bouffées sporadiques d’instabilité agressive
Première paire
Air/Feu :
- En équilibre : Hétérogène, multiple et exponentiel, actif simultanément sur plusieurs plans
- En déséquilibre : Pas de centre, pas d’intériorité, pas de profondeur, dispersion totale dans le futile, irretenue et inconséquence
Feu/Terre :
- En équilibre : Dépassement des limites par la hauteur, vision de l'interdépendance globale
- En déséquilibre : Insubordination radicale à toute contrainte, ouvert à tous excès absurdes, fuite absolue du cadre normatif, folie des grandeurs, quête du démesuré, déraciné
Seconde paire
Eau/Eau :
- En équilibre : Gestion en huis-clos de l'homogénéité interne et lente extériorisation
- En déséquilibre : Coupure ferme avec l’extérieur et réactions de défense inopportunes, intoxication interne en circuit fermé, amas de non-sens en huis-clos
Terre/Air :
- En équilibre : Disposition sur le long-terme, vision de la pureté et de l'ordre parfait
- En déséquilibre : Impuissance et incapacité à échanger avec l'extérieur, focalisation sur l’insignifiant et brèves crises de fébrilité, tension prête à se déchaîner
Air/Feu :
- En équilibre : Hétérogène, multiple et exponentiel, actif simultanément sur plusieurs plans
- En déséquilibre : Pas de centre, pas d’intériorité, pas de profondeur, dispersion totale dans le futile, irretenue et inconséquence
Feu/Terre :
- En équilibre : Dépassement des limites par la hauteur, vision de l'interdépendance globale
- En déséquilibre : Insubordination radicale à toute contrainte, ouvert à tous excès absurdes, fuite absolue du cadre normatif, folie des grandeurs, quête du démesuré, déraciné
Seconde paire
Eau/Eau :
- En équilibre : Gestion en huis-clos de l'homogénéité interne et lente extériorisation
- En déséquilibre : Coupure ferme avec l’extérieur et réactions de défense inopportunes, intoxication interne en circuit fermé, amas de non-sens en huis-clos
Terre/Air :
- En équilibre : Disposition sur le long-terme, vision de la pureté et de l'ordre parfait
- En déséquilibre : Impuissance et incapacité à échanger avec l'extérieur, focalisation sur l’insignifiant et brèves crises de fébrilité, tension prête à se déchaîner
Tant que l'on est dans le domaine de l'interdépendance, on demeure dans celui des sons et des vagues.
Certains sons intériorisent et d'autres extériorisent. Chaque sorte de sons ayant son utilité propre. Ceux qui intériorisent se véhiculent sur le souffle de l'harmonie et favorisent l'harmonisation. Ceux qui extériorisent se véhiculent sur le souffle... décentré... et favorisent la dysharmonie et le déséquilibre...
C'est par certaines combinaisons de sons qu'on trouve le Silence... le Centre...

Nous avons très vite remarqué que certains sons nous irritent ou nous énervent tandis que d'autres nous apaisent... éloignement et rapprochement du Centre, qui est Silence intérieur, Paix intérieure et harmonie/harmonisation...
L'éloignement du Centre est une expression de l'absence... absence de lumière, de joie, de liberté et de légereté... pourquoi ? Parce que le Centre est, comme nous l'avons vu, le seul lieu possible où les complémentarités et la Complétude ne font qu'un... c'est le point crucial (au centre de la croix)
La Nature émet des sonorités qui nous y mènent alors que les productions conditionnées des hommes sont en grande majorité ce que l'on appelle des "pollutions sonores"... des vagues dénaturées qui tendent à s'éloigner toujours davantage du Centre... (mais une vague fini toujours par revenir !)
Des créations de non-lieux où stagne l'absence, qu'on appelle ignorance... ou qu'on appellera comme on voudra...
Les créations humaines qui se structurent des quatre éléments, ont nécessairement pour caractéristiques naturelles de nous ramener au Centre...
c'est ce que font les mantra, les prières et les chants sacrés comme les chants chamaniques par exemple... tous les chants naturels qui honorent spontanément la Nature dont ils sont issus... les chants qui s'en inspirent, etc.

Masaru Emoto et Alexander Lauterwasser ont mis cette évidence sur la scène mondiale, pour ceux qui veulent bien entendre le message de l'Eau...
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Un documentaire (15 min. /9,70Mo) est disponible sur les travaux de Lauterwasser
Des dvd existent concernant les travaux du Dr. Emoto et Lauterwasser



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